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Sydo

STAND SUR MESURE - Stand Paris - Concept axial design

L’aventure du stand SYDO commence par un brief original : carte blanche !

 

Le thème, l’atmosphère, l’organisation de l’espace n’est qu’une problématique secondaire pour Sydo, agence conseil en pédagogie, acteur remuant et en fort développement du monde de la formation.

 

C’est une 1ère collaboration entre cette jeune entreprise et un standiste.

 

Aucun repère ne nous permet d’écrire les premières lignes du cahier des charges.

 

Comme 99% des stands sur-mesure que nous réalisons, le client espère générer des leads et développer sa notoriété auprès des visiteurs, ce qui ne représente évidemment pas un point d’appui en soit pour notre brief tant l’ensemble des exposants des salons professionnels visent systématiquement ces mêmes objectifs.

 

Dès lors le moment d’échange que représente le brief se révèle crucial car le jeu des questions-réponses nous permet de comprendre que Sydo évolue dans un milieu particulièrement concurrentiel où le marché est animé par des acteurs historiques et de grandes envergures. Les jeunes arrivants sont rares et il leur est compliqué de se faire une place au soleil.

 

Notre point d’appui sera la différenciation… inutile de partir sur un stand architecturé, statutaire, monolithique comme pour afficher sa puissance… nous partons sur un stand évènementiel, un stand agile, un stand animé…

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Nous proposons un stand one shot (plutôt qu’un stand réutilisable) il sera dédié à la prise de parole et organisé autour d’un atrium.

 

Un dispositif digital renforce les thématiques abordées lors des interventions.

 

Le site web de Sydo est au moment du travail créatif de l’équipe axial en plein remaniement. Nous récupérons les 1ère pistes de la web agency et imaginons que le stand sera aussi l’occasion de valoriser la nouvelle charte graphique. Nous retrouvons sur la maquette de la future « home page » des cubes que nous décidons d’utiliser en volume comme autant de blocs de formation. Accrochés aux cloisons, posés au sol, lumineux ou non…ces cubes sont la signature du stand. Ils nous servent à créer les assises, l’enseigne et la banque d’accueil.

 

La carte blanche est un formidable challenge mais aussi un sprint qui démarrerait de très très loin… Nous prenons nos responsabilités un peu comme si nous dessinions un stand traditionnel pour nos propres services.

 

Un stand en ilot nous aurait permis de nous passer d’une réserve pour maximiser les angles d’ouverture et motiver l’entrée des visiteurs sur le stand.

 

Or le stand est en L donc avec un double cloisonnement de 2,50m, et une réserve discrète reste le gage d’un stand fonctionnel. C’est primordial sur un stand de taille réduite mais destiné à accueillir de nombreux visiteurs.

Le dispositif numérique et digital du stand est présent pour renforcer la scénographie et crée 2 temps de découverte sur le stand.

 

Un premier espace visible de loin est une agora dédiée à la prise de parole : prise de son, captation vidéo le tout recopié sur des écrans disposés en mosaïque.

 

Le 2ème est un ensemble de 4 écrans tactiles destinés à l’auto-consultation et qui valorisent 4 cas d’école. Ils sont fixés sur la cloison principale et émergent comme une sculpture de cubes en reliefs disséminés sur la paroi.

 

Le digital interpelle mais aussi fluidifie la communication et le thème des cubes crée un principe d’agencement du stand pratique, duplicable et différenciant.

 

Au final, le stand évènementiel de Sydo est une confirmation importante pour les standistes que nous sommes : un stand design est un paramètre nécessaire mais pas suffisant pour rendre attractif l’espace de nos exposants…

Car animer son stand est primordial. Le standiste et son client sont co-responsables de cette initiative. Il en va du ROI de l’opération et c’est ce qui rendra l’investissement-salon incontournable pour l’exposant…

 

  • Le designer de stand doit être force d’idées, de créativité, d’originalité, d’interactivité et cela fait maintenant partie de ses prérogatives et de ses expériences passées de proposer des outils/des leviers d'animation.

  • L’exposant doit s’investir à double titre… Investir ses équipes d’une mission d’animation et prévoir un budget dédié à l’attractivité  (indépendant du budget d’agencement du stand).

 

... Et en 3 temps car l’animation commence avec « l’avant salon », prend sa valeur « pendant le salon », pour perdurer plusieurs semaines dans « l’après-salon » et rester en contact avec les visiteurs.

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